Alors qu’elle compte un peu plus de trois millions de travailleurs indépendants, la France qui s’est clairement engagée dans une course à la compétitivité, incite, de manière indirecte, ses talents à prendre leur envol. Tous les ans, grâce à des mesures gouvernementales incitatives de nombreux salariés se portent candidats à l’entreprenariat. Si de plus en plus de seniors visent l’autonomie, ce mode de fonctionnement se répand, en revanche, comme une traînée de poudre chez les plus jeunes. Rejet de la hiérarchie, envie de cumuler les expériences, besoin de partage, ambitions financières… il y a autant de motivations qu’il y a de profils.
La crise sanitaire qui a placé une grande partie des salariés en télétravail à un isolement forcé à permis à chacun de faire un point sur ses ambitions et ses aspirations profondes.
D’autre part, la généralisation des nouveaux moyens de communication a grandement facilité toutes les formes de nomadisme.
Qu’il s’agisse d’une création d’activité, d’un lancement d’offre de services ou d’une reconversion professionnelle, le champ des possibles est largement ouvert. Et si vous aussi vous franchissiez le pas et deveniez consultant ou formateur expert ?
1# Valoriser ses compétences et ses connaissances en devenant consultant formateur
Alors que le gouvernement français et l’Europe viennent de déployer d’énormes moyens financiers dans le plan d’investissements 2030, il apparaît clairement que le principal obstacle à ces objectifs ambitieux demeure, encore et toujours, le manque de main d’œuvre qualifiée. Si certains secteurs tels que l’artisanat peinent à trouver de la main d’œuvre qualifiée ou à former, il en va de même dans de nombreux autres domaines d’activité.
Bien que certaines formations diplômantes existent, elles n’en demeurent, le plus souvent, que théoriques. Quant aux métiers de demain, ceux qui devraient être en passe d’inventer la nouvelle économie, ils n’ont pas de formateurs adaptés aux attentes et aux besoins des entreprises.
Contre toutes attentes, le métier de formateur est un métier d’avenir accessible à toutes celles et à tous ceux qui ont à cœur de transmettre leurs compétences, leurs savoir-faire et leurs compétences. Tous les secteurs d’activité sont concernés par un manque cruel de formateurs.
Bien au-delà des connaissances purement théoriques dispensées par l’enseignement scolaire et universitaire, les femmes et les hommes de terrain ont d’autres compétences à partager. Rien ne vaut une solide expérience de terrain pour partager des connaissances et des savoirs faire acquis au fil des ans. Le métier de formateur permet la transmission d’un patrimoine immatériel précieux.
A l’heure où la tendance est à la réindustrialisation de notre pays, le retour en terre française de nombreuses industries tarde à se concrétiser tant ces savoir-faire ont disparu ou sont en passe de l’être.
Cependant de plus en plus d’entreprises peinent elles mêmes à trouver des consultants formateurs pour réinventer leurs métiers, redynamiser leurs troupes ou simplement s’adapter aux nouveaux besoins technologiques.
2# Surfer sur la vague de la digitalisation
Si certaines entreprises sont encore attachées aux formations in situ, la grande majorité d’entre elles ont depuis longtemps opté pour les formations à distance. Il est donc presque révolu le temps où les formateurs devaient se déplacer de villes en villes afin de diffuser leurs connaissances et leurs compétences. Aujourd’hui, les nouveaux moyens de communication permettent de former des milliers de personnes depuis son ordinateur. Formations en live ou pré enregistrées sous formes de séances d’e-learning, à chacun sa méthode, à chacun son marché.
Chaque formateur peut choisir le moment opportun pour réaliser ses enregistrements ou assurer plusieurs sessions par jour sans quitter son domicile. Là encore, les nouvelles technologies permettent de multiplier les interventions.
Être consultant ou formateur signifie pénétrer de plain pied dans l’enseignement professionnel pour adultes. De 16 à 65 ans, profils Junior ou Senior, les actifs à former reçoivent différemment les informations transmises par le formateur. La condition sinéquanone pour exercer une activité de formateur indépendant est savoir faire preuve d’un minimum de pédagogie pour transmettre ses savoirs.
Pour celles et ceux qui douteraient de leurs capacités à être pédagogue, la meilleure pédagogie se traduit par la qualité de transmission de l’information. Il faut également être bien conscient que la profession de formateur est avant tout un métier d’échanges et de partage des connaissances. Comme dans toutes les relations humaines, l’intervenant extérieur adapte spontanément son discours à son auditoire.
La relation entre l’instructeur et l’apprenant est avant tout une relation de confiance et d’écoute mutuelle. Les stagiaires qui s’engagent face à un consultant formateur, le font, la plupart du temps de manière réfléchie et claire. Ils sont donc généralement très attentifs aux conseils prodigués par ce nouveau coach. Le métier de consultant formateur est donc une activité particulièrement gratifiante et qui prodigue une image très valorisante et positive.
3# La digitalisation passe aussi par des consultants formateurs juniors
La digitalisation croissante de l’économie nécessite également de nouvelles ressources propres en entreprises. Les consultants formateurs en informatique sont très recherchés. Le plus souvent, les structures sont en quête de consultants formateurs juniors au faîte des nouvelles technologies afin de former leur personnel aux nouvelles technologies. Cette activité de consultant formateur dans tous les domaines de la digitalisation est accessible aux juniors. Ces jeunes talents trouvent là de nouveaux compléments de revenus très apprécié . Pour les étudiants ou les jeunes diplômés des filières informatiques, le statut de consultant formateur peut être une première approche du milieu professionnel particulièrement enrichissante et déboucher sur de nombreux contrats et missions.
4# Générer de nouveaux revenus
Comme toutes les activités indépendantes, le métier de consultant formateur peut s’exercer à plein temps ou bien en complément d’une activité salariée ou bien encore en plus des prestations de retraite. Certains consultants formateurs peuvent même prendre un statut d’indépendant et vendre leurs prestations de formation directement à l’entreprise qui les salarie en temps normal. Payé à la journée ou à la mission (pour vous en faire une idée, utilisez notre simulateur), le consultant formateur pourra tirer des revenus substantiels de sa nouvelle activité. Coach professionnel ou consultant indépendant, chaque formateur adapte son activité à ses ambitions personnelles.
Pour les consultants formateurs juniors rodés à l’utilisation de nouveaux logiciels et disposant de tout le matériel nécessaire, la préparation de modules de formation et d’e-learning constitue une première expérience professionnelle qui peut générer de confortables revenus susceptibles de leur permettre de finaliser des études parfois coûteuses. Eux mêmes étudiants, ils sont aussi à la pointe des nouveautés pédagogiques afin de retenir l’attention des personnes dont ils assurent la formation.
5# Combler son besoin d’entreprendre en devenant consultant formateur
Conserver une activité professionnelle salariée tout en devenant consultant formateur est tout à fait possible. Cela permet tous les ans, à des centaines de femmes et d’hommes d’entreprendre et donc d’assouvir un rêve d’indépendance.
Bon nombre de jeunes consultants formateurs qui embrassent aujourd’hui cette profession se tournent directement vers le Portage Salarial et son fonctionnement réellement novateur. Ainsi ces jeunes salariés portés ne connaitront ils sans doute jamais le modèle de salariat traditionnel français et sa hiérarchie parfois sclérosante.
Particulièrement convoités par les acteurs de la nouvelle économie, ces consultants formateurs juniors, profondément épris de liberté n’hésitent pas à multiplier les missions et ainsi à acquérir de nouvelles compétences qui leur permettent de tendre vers de nouveaux marchés, tant en France qu’à l’étranger.
6# Consultant formateur, un rôle de premier plan dans la nouvelle économie
Si au fil du temps, quelques métiers ont été remplacés par l’arrivée massive de l’informatique, de l’intelligence artificielle ou des nouveaux moyens de communication, d’autres en revanche sont apparus et certaines compétences se sont faites de plus en plus pointues.
Si la nouvelle économie est en passe de se formaliser, les emplois de demain se préparent dès aujourd’hui et les futurs experts se forment maintenant. Bien que l’Europe et la France aient déployé un plan d’investissement de 30 milliards pour créer l’économie de demain, la main d’œuvre est le principal frein à ces investissements historiques.
La transition écologique, qui est au cœur de ce dispositif, manque cruellement d’experts directs et indirects. Les jeunes consultants formateurs ont donc, dans ce cadre là, une carte majeure à jouer. Précurseurs de cette nouvelle économie, les consultants formateurs en énergies renouvelables, mais aussi les consultants formateurs en informatiques, techniques et matériaux de construction … font partie des compétences les plus recherchées tant par les grands groupes industriels que par les PME et les pouvoirs publics.
Si le portage salarial n’est pas accessible à toutes les professions, il est en revanche un véritable vivier de talents, notamment en ce qui concerne les consultants formateurs.
Bien plus libres que s’ils sont salariés par des organismes de formation, ils peuvent, notamment chez Portageo, obtenir toutes les certifications nécessaires à l’exercice de leurs compétences.