Les 6 barrières d'une mission à l’étranger VS le portage international

Dans un univers professionnel mondialisé, les indépendants sont de plus en plus souvent sollicités pour des missions à l’étranger. Bien que ces contrats puissent être particulièrement attractifs, nombre de freelance se sentent contraints de décliner ces offres pour différentes raisons. Éloignement familial, climat inadapté, méconnaissance culturelle, barrière de la langue, tracasseries administratives, assurances…les raisons sont aussi variées que propres à chacun. Fort heureusement, des solutions comme le portage salarial existent pour leur prêter main forte.

Qu’est ce qu’une solution de portage international ?

Cependant, toutes ces barrières peuvent être aisément surmontées avec le soutien et l’accompagnement d’une structure de portage salarial à international.
Le droit français est clair, c’est à l’entreprise de gérer les formalités de déplacement de ses salariés. C’est elle qui doit prendre en charge la gestion des risques afin que ses salariés travaillent dans les meilleures conditions sanitaires et de sécurité.
Le concept du portage salarial est de laisser au consultant toute son indépendance et la latitude de gérer ses clients, ses devis (taux horaire, frais divers…), ses missions…en lui assurant un statut de salarié. Les honoraires négocié par le consultant sont versés par le client à l’entreprise de Portage salarial qui les transforme en salaire, se chargeant du paiement des charges, diverses cotisations obligatoires et en prélevant une commission de gestion.
Dès lors, c’est l’entreprise de Portage international qui assure la gestion de ces missions à l'étrangerhelp.

Les 6 barrières d’une missions à l’étranger réussie

1- Aller travailler sous d’autres latitudes

A l’heure de l’internationalisation des échanges, de nombreux consultants en prestations intellectuelles se voient proposer des missions à l’étranger. La langue de Molière et nos courants de pensées sont autant d’atouts particulièrement appréciés à l’étranger.
Du grand Nord canadien, au Sud Est asiatique, les offres de mission sont aussi nombreuses que variées. Ayant grandi sous un climat tempéré, l’approche climatique de ces régions aux climats parfois extrêmes est encore, trop souvent un frein à une réalisation professionnelle.
Entre la nuit qui tombe à 15 heures ou la moiteur des journées tropicales, l’adaptation physique et, de facto, psychologique, sont encore souvent négligées par les candidats à des missions à l’étranger.
Se dire que de toute façon, on ne part que sur une durée limitée et uniquement pour bosser, ne suffit pas. Quand le corps ne suit plus, la concentration disparaît.
Entre la climatisation poussée à fond et les chauffages à outrance dans les zones les plus extrêmes, mieux vaut apprendre à se réguler pour éviter les rhumes et autres coups de froids.
Votre correspondant sur place sera bien souvent le plus à même pour vous donner, avant votre départ, quelques conseils avisés et adaptés à la région dans laquelle vous allez travailler.

2- L’éloignement familial

Autre aspect à ne pas négliger, l’éloignement familial. Pas facile de laisser sa famille derrière soit pendant de longues semaines voire même pendant plusieurs mois. S’il faut se préparer psychologiquement à la solitude, il faut aussi préparer ses proches à cet éloignement temporaire.

Même si la distance physique est importante, les moyens de communication dont chacun dispose à l’heure actuelle permettent de limiter considérablement les effets de la séparation. Téléphone, appels en visio sont accessibles à tous. Ces outils de communication revêtent un caractère essentiel pour les salariés en mission à l’étranger. Ils limitent les angoisses, pallient à l’isolement affectif et permettent aussi de conserver des relations privilégiées avec ses amis.

Avant de partir, mieux vaut donc s’assurer de disposer de toutes connexions et de toutes les couvertures réseaux sur son futur lieu de vie et de travail. Vérifiez aussi la compatibilité de vos forfaits de communications, sur un simple appel à votre fournisseur d’accès. Si vous ne bénéficiez pas d’une option monde, il est peut-être temps d’y souscrire.

3- L’adaptation culturelle

A moins d’avoir beaucoup baroudé dans sa vie, l’adaptation culturelle est un véritable exercice qui peut avoir des conséquences fâcheuses si elle n’est pas bien abordée. Coutume, religion, rapport à l’autre, traditions locales, nourriture… autant d’éléments du quotidien qui rythment la vie de tous les indépendants en mission à l’étranger.
Certains pays revêtent une véritable mosaïque culturelle. De la Chine à l’Inde en passant par les États-Unis, Brésil, le Sénégal ou l’Australie, plus un pays est grand et plus les cultures diffèrent d’une région à l’autre.
Si internet regorge de conseils en tous genres selon les destinations, peut-être que votre interlocuteur local pourra vous donner quelques conseils avisés. Tous les voyageurs le savent bien, il ne faut jamais débarquer à l’étranger en terrain conquis. Un peu de bon sens et d’observations discrètes permettent de comprendre et d’appréhender différemment la vie quotidienne à l’étranger.

4- La barrière linguistique

Bien que vous ayez déjà négocié les conditions de votre mission à l’étranger avec un interlocuteur francophone ou anglophone (si vous maîtrisez la langue de Shakespeare), il n’en demeure pas moins vrai qu’une mauvaise maîtrise de la langue va représenter une entrave à la réussite de votre mission. Et oui, pour se comprendre, il faut parler le même discours…
Afin de ne pas être arrêté par cette barrière linguistique, il existe de nombreux outils d’apprentissage rapide. Bien qu’il soit communément admis que l’anglais soit parlé aux quatre coins de la planète, vos interlocuteurs apprécieront que vous fassiez des efforts d’adaptation en parlant leur langue.
D’autre part, tous les salariés portés ont accès, comme l’ensemble des salariés français, à l’utilisation de leur compte emploi Formation qui ouvre aussi à de nombreuses formations linguistiques.

5 -La gestion administrative

On ne travaille pas à l’étranger comme ça en claquant des doigts. Chaque pays est régi par son propre Code du travail et les étrangers doivent respecter un certain nombre de règles afin d’exercer leurs compétences professionnelles en toue légalité. Selon la durée de votre mission les règles changent et évoluent, y compris celles qui régissent votre activité depuis la France. Aude là d’une mission supérieure à six mois consécutifs, le salarié change de statut et devient expatrié. Un statut qui change radicalement la donne.
Des visas en passant par la protection sociale, les assurances professionnelles ou de rapatriement, c’est un véritable casse tête administratif. Seuls des professionnels de ce type de mission sont à même de mener à bien l’ensemble des démarches administratives en France mais aussi sur votre lieu de mission.
Dans le cadre du Portage Salarial international, nos équipes gèrent ce démarches tous les jours. En étant salarié porté, vous pouvez vous concentrer sur le contenu de votre mission, nous prenons en charge l’intégralité des formalités à accomplir, y compris les transactions financières qui concernent vos honoraires. Nous ne perdons pas de temps, nous prenons contact directement avec les interlocuteurs légaux de chaque pays. Ainsi, nos salariés portés savent qu’ils partent en mission en toute légalité et dans le plus grand respect des lois en vigueur, tant en France que dans leur pays d’accueil.
Autre avantage, et de taille, durant toute la durée de sa mission à l’étranger, le salarié porté continue de cotiser aux différents régimes français et à en tirer les mêmes avantages, exactement comme s’il exerçait sa mission sur le sol français.
En plus de cet accompagnement de tous les instants, votre société de Portage salarial vous guidera pour rédiger votre contrat de mission avec votre client. En effet, un mission à l’étranger représente des coûts bien plus élevés que sur le sol français (vol aller/retour, hébergement, transports sur place…). Autant de frais que vous devez intégrer dans le contrat tripartite signé entre vous, votre client et l’entreprise de Portage salarial qui vous emploie.

6- Les priorités sanitaires

Si les obligations sanitaires varient d’un pays à l’autre, elles sont maintenant encore plus encadrées avec la pandémie de Covid-19. Pour poser le pied dans certains pays d’Afrique ou d’Asie, un certain nombre de vaccins doivent figurer sur votre carnet de vaccination. A ces obligations sanitaires, viennent aujourd’hui s’ajouter un test COVI-19 dans la majorité des pays du globe et bien souvent, comme c’est le cas dans certains pays d’Europe de l’Est, une période d’isolement.
Parfaitement au faite de ces obligations sanitaires et des contraintes qu’elles imposent aux voyageurs, notre entreprise de Portage Salarial sera à même de vous guider et de vous orienter vers les différents services de santé avant votre départ à l’étranger, tout en vous proposant une couverture et des assurances adéquates à vos attentes. Le site du Ministère des Affaires Étrangères tient aussi parfaitement à jour les conditions d’accès à tous les pays (vaccins obligatoires, pièces d’identité acceptées, visa, mesures sanitaires en vigueur, risques épidémiques…)

Se préparer et être appuyé par une société de portage international

Ne pas se préparer correctement à une mission à l’étranger c’est malheureusement souvent se préparer à échouer. Ne prenez surtout pas ce risque et mettez toutes les chances de votre côté.
Cette préparation constitue une part essentielle de notre travail d’entreprise de Portage salarial à l’international. Portageo, accompagne depuis 2006 des centaines de salariés portés qui gèrent librement leurs contrats avec leurs clients à l’étranger. Nous prenons en charge intégralement la gestion de votre mission, nous assurons l’intégralité des volets sanitaires et administratifs de chacun de nos salariés.